« Plaisir d’offrir, joie de recevoir » : L’édito du rédacteur en chef explorant les sentiments liés à l’échange de cadeaux

Léo

« plaisir d'offrir, joie de recevoir » : l'édito du

Le métier de rédacteur en chef peut réserver de bonnes surprises, comme lorsqu’on se voit confier la tâche de remettre les clés d’une voiture à un lecteur. C’est un geste gratifiant pour nous.

Un lecteur chanceux remporte une voiture grâce à son fils

Un lecteur chanceux a récemment remporté une Suzuki Ignis flambant neuve lors d’un concours organisé par Auto Plus pour célébrer ses 35 ans. Ce qui rend cette victoire encore plus incroyable, c’est que le gagnant participait pour la première fois à un tirage au sort. Et ce n’est pas tout, il doit également sa participation à son fils Théodore, âgé de seulement 11 ans. Théodore, qui est déjà un véritable phénomène, pose des questions d’expert et connaît Auto Plus sur le bout des doigts. Alors que je m’étonnais à voix haute de la fin de la série des plaques d’immatriculation en G en observant l’Ignis, « Junior » m’a rappelé que j’aurais simplement dû lire plus attentivement la page 13 du journal pour le savoir. Une leçon d’humilité de la part d’un enfant qui pourrait presque être mon petit-fils.

Une famille qui apprécie Auto Plus et son impartialité

Cette famille exceptionnelle nous a fait un magnifique cadeau ce jour-là. Voir un père et un fils partager leur passion pour notre journal nous a énormément touchés. Mais surtout, ils nous ont fait le plus beau des compliments en vantant à plusieurs reprises la qualité et l’impartialité de nos articles. Des qualités qui ont toujours été primordiales pour nous, même si certains « haters » nous accusent de favoriser tantôt les voitures françaises, tantôt les voitures allemandes, un jour les modèles premium, et le lendemain les Dacia, etc.

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D’ailleurs, en évoquant ici mon enthousiasme face à l’audace actuelle de Renault, je sais que je m’expose à une avalanche de messages peu amènes de la part de ceux qui pensent que nous favorisons le constructeur français. Mais peu importe. Parce que sérieusement, il faut être de mauvaise foi pour ne pas reconnaître les efforts de créativité déployés par la marque, que l’on soit séduit ou non par le style de ses futurs modèles.

Je me demande d’ailleurs ce qui se passerait si les pro-Peugeot et les pro-Renault se retrouvaient dans une alliance. Une hypothèse qui n’est pas totalement exclue depuis que Carlos Tavares, le patron de Peugeot et Stellantis, a laissé entendre qu’une nouvelle alliance avec un autre grand groupe était inévitable. Ford ou GM seraient les options les plus logiques, mais l’option Renault n’est pas complètement exclue. Est-ce plausible ?

Je poserai la question à Théodore et je vous donnerai la réponse plus tard.