Salon de Genève : Un nouveau départ prometteur

Léo

salon de Genève 2024

Le salon automobile de Genève reprendra du 26 février au 3 mars 2024 après une pause de quatre ans. Les organisateurs visent à accueillir 200 000 visiteurs pour cette 100e édition, tout en cherchant à regagner la confiance des constructeurs qui étaient largement absents cette année.

Le salon de Genève revient après une pause de quatre ans

Après une pause de quatre années, le salon de Genève revient du 26 février au 3 mars 2024. Cette pause était notamment due à la pandémie de Covid-19. L’organisateur espère accueillir 200 000 visiteurs pour cette 100e édition, qui se déroulera dans trois halls seulement. Auparavant, le salon s’étendait sur six halls et attirait 600 000 personnes.

Renault dévoilera la R5 E-Tech

Le président du salon, Alexandre de Senarclens, a exprimé sa satisfaction de voir le salon de Genève revenir et espère qu’il redeviendra une grande plateforme où l’industrie automobile et le public pourront se rencontrer. Il a également souligné l’importance de revenir chaque année en étant plus grands et plus forts.

Le salon de Genève accueillera une vingtaine de marques, dont Renault et Dacia en tant que seul groupe européen. Des géants chinois tels que BYD et SAIC, avec sa marque MG, seront également présents. Parmi les véhicules attendus, on retrouvera en avant-première la R5 E-Tech de Renault, le nouveau Dacia Duster et la MG3 full hybrid.

En revanche, les principaux constructeurs allemands, tels que le groupe Volkswagen, BMW et Mercedes, ont confirmé qu’ils ne participeraient pas à cette édition. Les groupes Stellantis, Toyota et Hyundai-Kia ont également décidé de passer leur tour.

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En plus des marques présentes, les organisateurs proposeront des animations, des conférences sur l’automobile, l’innovation, le design et le jeu vidéo, ainsi que des expositions de supercars et de voitures anciennes. Le directeur du salon, Sandro Mesquita, a souligné la nécessité de réinventer le modèle des salons automobiles, qui étaient déjà en perte de vitesse avant la pandémie.